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Les secrets de la princesse de Cadignan 2h1r3d

La Comédie humaine - Études de moeurs. Troisième livre, Scènes de la vie parisienne - Tome XI (sic, erreur pour le tome III). Onzième volume de l'édition Furne 1842. Extrait : ― De Marsay a joué avec moi comme avec une poupée. J’étais si jeune ! Nous n’aimons jamais les hommes qui se font nos instituteurs, ils froissent trop nos petites vanités. Voici bientôt trois années que je e dans une solitude entière, eh ! bien, ce calme n’a rien eu de pénible. A vous seule, j’oserai dire qu’ici je me suis sentie heureuse.

Louis Lambert 2x4f23

La Comédie humaine - Études philosophiques. Seizième volume de l'édition Furne 1842. Extrait : Le père Haugoult se mit donc à raconter fort complaisamment les singuliers événements qui allaient, le lendemain, nous valoir le plus extraordinaire des Nouveaux. Aussitôt les jeux cessèrent. Tous les Petits arrivèrent en silence pour écouter l’aventure de ce Louis Lambert, trouvé, comme un aérolithe, par madame de Staël au coin d’un bois.

Madame Firmiani 3b3e3g

1831. La Comédie humaine - Études de moeurs. Premier livre, Scènes de la vie privée - Tome I. Premier volume de l'édition Furne 1842. Qui est cette madame Firmiani pour laquelle le jeune Octave de Camps s'est ruiné ? Monsieur de Bourbonne, oncle d'Octave, monte à Paris pour découvrir qui est réellement cette femme dont la personnalité est controversée dans le tout-Paris... Extrait :  Oh ! madame Firmiani, mon cher, est une de ces femmes adorables qui servent d’excuse à la nature pour toutes les laides qu’elle a créées par erreur ; elle est ravissante ! elle est bonne !

Maître Cornélius 4agr

La Comédie humaine - Études philosophiques - Tome II. Quinzième volume de l'édition Furne 1842. Extrait : Et le comte Aymar de Poitiers, sire de Saint-Vallier, tenta de tirer son épée et de se faire faire place ; mais il se vit environné, pressé par trente ou quarante gentilshommes qu’il était dangereux de blesser. Plusieurs d’entre eux, qui étaient du plus haut rang, lui répondirent par des quolibets en l’entraînant dans le age du cloître.

Massimilla Doni uf71

La Comédie humaine - Études philosophiques - Tome II. Quinzième volume de l'édition Furne 1842. Extrait : ― Et je suis prince ! En se disant ce dernier mot, Émilio Memmi jeta, sans l’achever, la lettre de Marco Vendramini dans la lagune, où elle flotta comme un esquif de papier lancé par un enfant. ― Mais Émilio, reprit-il, n’a que vingt-trois ans.

Melmoth reconcilié 402j1v

La Comédie humaine - Études philosophiques - Tome I. Quatorzième volume de l'édition Furne 1842. Extrait : Melmoth avait déjà déé sa victime. Si le premier mouvement de Castanier fut de chercher querelle à un homme qui lisait ainsi dans son âme, il était en proie à tant de sentiments contraires, qu’il en résultait une sorte d’inertie momentanée, il reprit donc son allure, et retomba dans cette fièvre de pensée naturelle à un homme assez vivement emporté par la ion pour commettre un crime, mais qui n’avait pas la force de le porter en lui-même sans de cruelles agitations.

Mémoires de deux jeunes mariées 5l4k53

1841. La Comédie humaine - Études de moeurs. Premier livre, Scènes de la vie privée - Tome II. Deuxième volume de l'édition Furne 1842. Mémoires de deux jeunes mariées est un roman épistolaire dont l'histoire se déroule entre 1823 et 1835. Elevées dans le même couvent, deux heunes filles entament une corespondance dans laquelle elles se racontent leurs premiers pas dans la société et la vie. La première, Louise de Chaulieu mène une vie mondaine et rencontre un baron espagnol dont elle s'éprend puis qu'elle épouse.

Modeste Mignon 4j5r6a

La Comédie humaine - Études de moeurs. Premier livre, Scènes de la vie privée - Tome IV. Quatrième volume de l'édition Furne 1842. Extrait : L’attitude de Dumay rendit cette situation terrible pour Butscha, pour les Latournelle, et surtout pour madame Dumay qui savait son mari capable de tirer, comme sur un chien enragé, sur l’amant de Modeste.

Où mènent les mauvais chemins 653ea

La Comédie humaine - Études de moeurs. Troisième et quatrième livres, Scènes de la vie parisienne et scènes de la vie politique - Tome XII (sic, erreur pour le tome IV). Douzième volume de l'édition Furne 1842.

Petites misères de la vie conjugale 4f1n4c

La Comédie Humaine - Etudes analytiques. Tome XVIII - Houssiaux, 1855. Extrait : Votre fille Caroline est excessivement orgueilleuse de la forme un peu bombée de sa taille. Toutes les femmes déploient une innocente coquetterie pour leur première grossesse. Semblables au soldat qui se pomponne pour sa première bataille, elles aiment à faire la pâle, la souffrante ; elles se lèvent d’une certaine manière, et marchent avec les plus jolies affectations. Encore fleurs, elles ont un fruit : elles anticipent alors sur la maternité. Toutes ces façons sont excessivement charmantes...

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